
Certains journalistes ou autres disent que je fais « l’apologie de la guerre ». Ils ont absolument raison.
Oui! Je fais l’apologie de la guerre contre des fanatiques qui kidnappent des filles de 10 ans pour les transformer en esclaves sexuelles…
Je fais l’apologie de la guerre contre des barbares qui lancent des homosexuels du haut des immeubles…
Je fais l’apologie de la guerre contre des tortionnaires qui coupent la tête de citoyens ayant fait l’erreur de ne pas obéir à une prescription religieuse extrême…
Je fais l’apologie de la guerre contre ces soldats qui à Sinjar ont désarmé des familles tout en promettant la paix. Ces soldats ont ensuite pourchassé ces familles qui couraient dans les montagnes, les encerclant avec des véhicules armés, séparant les hommes, les enfants, les mères…
Je fais l’apologie de la guerre contre des fanatiques se ventant devant le monde de torturer et de violer…
Je ne fais pas l’apologie de la guerre, mais du guerrier, du sacrifice de soi, du Service, avec un « S » majuscule.
À tous ceux qui me critiquent de faire l’apologie de la guerre, je dis finalement :
Vous avez raison! Oui! Je fais l’apologie de la guerre à des gens qui voudraient vous torturer sur la place publique, vous journalistes ou citoyens, parce que vous êtes des « infidèles ».
Si on m’accuse de faire l’apologie de la guerre contre ces fanatiques, je plaide coupable deux fois, et fièrement!
Oui! Je fais l’apologie du combat de la liberté contre la tyrannie.
Oui! Je fais l’apologie du combat de l’humanité contre la barbarie!
FV
W